Actualité UNE

G5 Sahel : IBK, incontournable !

Le Président de la République, Ibrahim Boubacar Kéïta, demeure un acteur incontournable dans le fonctionnement du G5 Sahel. Comme le démontrent ses multiples actions pour la matérialisation et le fonctionnement de l’institution en vue d’un Sahel paisible.

Devant les dirigeants de près de 200 pays venus des quatre coins   de a planète, le président de la République a porté fièrement la voix du Mali  lors de l’Assemblée générale des Nations Unies ténue à New York la semaine dernière. Il y’a brossé à grands traits le progrès du Mali, jadis très vulnérable, aujourd’hui engagé sur le long chemin vers la paix et la prospérité. Notre pays qui occupe les premières chaises de la haute institution internationale signe son grand retour au sein du cercle fermé des nations écoutées et respectées. N’en déplaisent à ceux qui cherchent encore à porter la main sur mère patrie en s’adonnant à de honteux spectacles sur les réseaux sociaux. Suivez mon regard…

Grace à la vitalité de notre diplomatie, la président de la République a coprésidé, en marge de la conférence annuelle statutaire des Nations Unies, une réunion de haut niveau sur le Mali et le sahel aux cotés du secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres et plusieurs puissances économiques et militaires du  monde. C’est donc dans une salle qui a refusé du monde que le président Keita a demandé à tous les partenaires engagés dans le financement de la force G5 sahel d’honorer leurs engagements. Le secrétaire général de l’ONU, un grand ami du Mali a vivement félicité le Chef de l’Etat pour sa « brillante élection » à la tête de notre pays à l’issue d’une élection crédible organisée dans des conditions délicates et à terme échu.  Nombreux étaient ceux qui voyaient le verre à moitié  vide au lieu de constater qu’il était à moitié plein tenant compte de la détermination inébranlable au gouvernement à relever le défi.

AGIR COLLECTIVEMENT CONTRE LE TERRORISME

Parlant de paix, Antonio Guiterres qui a visité la Mali en mai la sonnette d’alarme. «  Il faut que les dividendes de la paix se maternalise au bénéfice des populations » a insisté le patron des Nations Unies qui demande à unir tous les efforts avec vision commune. «  Le moment est venu d’agir collectivement » selon Antonio Guiterres.

Le Président de la République sui ne s’est jamais lassé de clamer l’opérationnalisation de cette force a attiré l’attention des partenaires internationaux sur la modicité des ressources dont dispose l’Etat du Mali. «  C’est  pourquoi, je réitère mon appel en faveur de la mobilisation effective et rapide des ressources promises par nos partenaires, en vue de nous aider à réaliser, dans les délais requis, tous les engagements contenus dans la feuille de route du 22 mars 2018 » leur dit-il. Dans le même registre, IBK a souligné que la mise en œuvre de l’Accord pour la paix implique la participation active de tous les acteurs politiques du pays, des mouvements signataires et de l’ensemble des forces vives de la nation, y compris la société civile. A cette fin, il a invité à l’union sacrée autour des voies et moyens de sortir durablement notre pays des crises cycliques. « Nous estimons que la lutte contre le terrorisme au sahel est une contribution à la sécurité internationale. C’est pourquoi, nous continuons à demander au Conseil de sécurité d’autoriser le déploiement de cette force sous Chapitre VII de la charte des Nations unies » a insisté IBK qui a invité IBK qui a invité les partenaires bilatéraux en multilatéraux, qui ont fait des annonces de contributions financières, en février 2018, lors de la Conférence de Bruxelles, à «  honorer leurs engagements en faveur de la force conjointe du G5 sahel ».

PLAIDOYER POUR LE G5 SAHEL

Dans le même sillage le secrétaire général  des Nations Unies, Antonio Guterres, les présidents l’Union africaine (UA) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), respectivement Moussa Faki  Mahamat et Jean Claude Kassi Brou ainsi que la haute représentante de l’Union européenne (UE) pour les Affaires étrangères et la sécurité, Federica Mogherini, ont appelé tout à tour à l’action pour stabiliser le sahel à travers un soutien accru aux efforts pour la paix du gouvernement.

D’autres pays comme la France ; l’Algérie ; la Norvège, la Mauritanie, le Burkina Faso et le Niger ont marqué leur adhésion à la vision décrite par IBK consistant à mutualiser les efforts dans la croisade contre le terrorisme. «  Le Sahel est une priorité absolue pour l’UE  et ses Etats membres. L’ensemble des acteurs doivent s’impliquer et assumer leurs responsabilités. Les différentes parties doivent se positionner clairement », a indiqué Frederica Mogherini. « Que les acteurs, comprennes qu’il n’est plus possible de tergiverser » a déclaré pour sa part le chef de la diplomatie française, jean Yve le Drain. Aux Nations Unies, le leadership d’IBK a porté fruits. En effet, son plaidoyer pour le déploiement rapide et efficace de la force conjointe du G5 sahel a trouvé oreille attentive auprès des membres du conseil de sécurité de l’ONU. Sa rencontre avec son homologue américain, Donald Trump qui l’a félicité pour sa réélection, en plus d’autres contacts bilatéraux, est un signal fort.

A.K

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *