Ledit atelier qui ferme ce mercredi 23 novembre a réuni un parterre d’experts et de partenaires nationaux et internationaux de l’INPS. Il constitue l’étape de validation des ateliers régionaux. Selon le DG de l’institut, la mise en place de l’observatoire des risques professionnels au Mali est la concrétisation de son engagement pris lors de la célébration de la 26ème journée africaine des risques professionnels du 28 avril 2022 au Mali.
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Ousmane Karim Coulibaly, DG de l’INPS : « L’observatoire des risques professionnels est une sentinelle, une veille sanitaire »

Ce mardi 22 novembre 2022 est ouvert au CICB l’atelier national de la mise en place de l’observatoire des risques professionnels au Mali. Occasion pour le Directeur Général de l’Institut National de Prévoyance Sociale, Ousmane Karim Coulibaly, de faire comprendre que cet instrument est « une sentinelle, une veille sanitaire ». 

A l’ouverture, M. MAÏGA a expliqué que malgré les investissements faits dans le domaine de la santé les indicateurs ne sont toujours pas à hauteur de souhait. « Le taux de mortalité infantile est de 54 décès pour 1 000 naissances vivantes ; le taux de mortalité infanto-juvénile est de 101 décès pour 1 000 naissances vivantes ; 33 % de naissances ont lieu en dehors d’un établissement de santé ; seulement 45 % d’enfants de 12 à 23 mois ont reçu tous les vaccins de base ; 1 sur 3 des enfants de moins de 5 ans ont un retard de croissance ; seulement 40% des enfants de moins de 6 mois sont exclusivement allaités au lait maternel ; moins de 3 millions d’indigents sont enrôlés ; forte méconnaissance des systèmes de protection sociale. Fort de ces constats, de nouvelles stratégies doivent être envisagé afin de rapprocher les soins aux populations et de mieux faire comprendre notre système de santé et de protection sociale », a-t-il souligné
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Mois de la santé et de la protection sociale : Un cadre de communication et d’échanges entre les acteurs et les bénéficiaires

Sous le haut patronage, de Monsieur le Premier Ministre par intérim, Colonel Abdoulaye MAIGA, cette cérémonie, pour atteindre les objectifs escomptés, a privilégié l’inclusivité, en termes de participation. A l’ouverture, M. MAÏGA a expliqué que malgré les investissements faits dans le domaine de la santé les indicateurs ne sont toujours pas à hauteur de souhait. « Le taux de mortalité infantile est de 54 décès pour 1 000 naissances vivantes ; le taux de mortalité infanto-juvénile est de 101 décès pour 1 000 naissances vivantes ; 33 % de naissances ont lieu en dehors d’un établissement de santé ; seulement 45 % d’enfants de 12 à 23 mois ont reçu tous les vaccins de base ; 1 sur 3 des enfants de moins de 5 ans ont un retard de croissance ; seulement 40% des enfants de moins de 6 mois sont exclusivement allaités au lait maternel ; moins de 3 millions d’indigents sont enrôlés ; forte méconnaissance des systèmes de protection sociale. Fort de ces constats, de nouvelles stratégies doivent être envisagé afin de rapprocher les soins aux populations et de mieux faire comprendre notre système de santé et de protection sociale », a-t-il souligné.