Alors que le retour à l’ordre constitutionnel et la fin de la transition au Mali se font attendre avec impatience, Housseïni Amion Guindo, président du parti CODEM dit constater que « les autorités de la transition n’ont pas jugé nécessaire de communiquer sur leurs intentions, convaincues de leur position de force (détenant les armes) face au peuple meurtri et aux mains nues ».
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