Depuis cinq mois aujourd’hui (153 jours), les parties signataires de la déclaration du 31 mars suivent de près ce processus judiciaire de la détention prolongée de nos camarades. Cette situation fait suite à un appel incompréhensible du parquet du Tribunal de Grande Instance de la Commune V de Bamako, opposé à l’ordonnance de mise en liberté conditionnelle prononcée par le juge d’instruction en leur faveur.
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