Les réactions tonitruantes de Komoguel, ancien premier ministre lâché sans ménagement par ses employeurs, démontrent qu’il a perdu le sens des réalités et qu’il aura du mal à se concilier avec un projet incluant un vrai dialogue avec le Peuple. L’homme semble souffrir de ce que craignent les rhétoriciens : la logorrhée, cette diarrhée verbale qui saisit le locuteur et l’entraîne dans une sorte de tourbillon discursif inarrêtable.