Les rideaux sont tombés sur ce jeudi 25 juillet 2024 sur les consultations des forces vives de la nation pour la rédaction de l'avant-projet de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, sur une note d’espoir. Aussi bien les autorités et légitimités traditionnelles que les universités, en passant par la classe politique, la société civile, les syndicats, les jeunes, tous ont affichés leurs disponibilités à apporter leurs contributions pour la réussite de tout le processus.
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Charte pour la Paix et la Réconciliation au Mali : Les consultations des forces vives s’achèvent sur une note d’espoir

Les rideaux sont tombés sur ce jeudi 25 juillet 2024 sur les consultations des forces vives de la nation pour la rédaction de l’avant-projet de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, sur une note d’espoir. Aussi bien les autorités et légitimités traditionnelles que les universités, en passant par la classe politique, la société civile, les syndicats, les jeunes, tous ont affichés leurs disponibilités à apporter leurs contributions pour la réussite de tout le processus.

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La CPI lève les scellés du mandat d’arrêt à l’encontre d’Iyad Ag Ghaly

Aujourd’hui, le 21 juin 2024, la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (« CPI » ou « la Cour ») a, à la demande du Procureur, rendu public le mandat d’arrêt à l’encontre d’Iyad Ag Ghaly pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qui auraient été commis au nord du Mali entre janvier 2012 et janvier 2013. Le mandat d’arrêt avait été initialement délivré sous scellés le 18 juillet 2017. M. Ghaly n’est pas détenu par la CPI.

Lorsqu'on parle de courage, de détermination et de résilience, le parcours de Mme Sanou Sissoko est un véritable modèle. Son histoire commence avec une décision audacieuse : suivre son mari aux États-Unis. Après une scolarité en français et sans aucune maîtrise de l'anglais, Mme Sissoko a relevé le défi de tout recommencer à zéro dans un pays étranger.
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Mme Sanou Sissoko : Une vraie Wonder Woman !

Lorsqu’on parle de courage, de détermination et de résilience, le parcours de Mme Sanou Sissoko est un véritable modèle. Son histoire commence avec une décision audacieuse : suivre son mari aux États-Unis. Après une scolarité en français et sans aucune maîtrise de l’anglais, Mme Sanou a relevé le défi de tout recommencer à zéro dans un pays étranger.

C’est ainsi que, dans un sursaut de dignité, le peuple malien a décidé de reprendre son destin en main et de reconquérir l’ensemble de son territoire. La reprise de Kidal et des autres villes du nord a été une illustration parfaite de ce nouvel état d’esprit. Les Maliens ont alors compris que la paix tant espérée était désormais à leur portée.
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Phase nationale du dialogue inter-maliens : Discours d’ouverture de Son Excellence Colonel Assimi Goïta, Président de la Transition

Le Président de la transition, colonel Assimi Goïta, a présidé l’ouverture de la phase nationale du dialogue inter-maliens pour la paix et la réconciliation nationale, ce lundi 6 mai 2024 au Centre International de Conférence de Bamako (CICB). En intégralité, le discours du Chef de l’Etat.

Les conflits actuellement en cours sur le territoire malien, de même que les actes de violences perpétrés au dépens des Maliens, sont le fait d’acteurs encore actifs sur le territoire. Il s’agit de groupes rebelles ayant des objectifs politiques et d’acteurs terroristes mus par des desseins religieux, sociaux, politiques voire géopolitiques. Ces acteurs sont les principales sources de violence et donc les principaux obstacles à la paix et à la coexistence pacifique entre les communautés au Mali.
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Note de Moussa Mara relative au dialogue inter maliens pour la paix et la réconciliation nationale

Le dialogue a été décidé par le Président de la transition, à la suite de son discours du 31 décembre 2023 pour enclencher une dynamique d’appropriation nationale de la gestion de la crise. Selon les propres mots du Président : « J’ai pris l’option de privilégier l’appropriation nationale du processus de paix, en donnant toutes ses chances à un dialogue direct inter-malien pour la paix et la réconciliation, afin d’éliminer les racines des conflits communautaires et intercommunautaires. »

Selon lui, cette mesure compromet l'inclusivité du dialogue en fragilisant les acteurs politiques, qui devraient pourtant jouer un rôle central dans ce processus. "Un Dialogue Inter-Malien authentique doit impliquer les parties prenantes réelles, celles qui ont des différends à résoudre", déclare-t-il.
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Dialogue Inter-Malien : Le président du MGE Moctar Ousmane Sy appelle à une révision des mesures

Alors que le Dialogue Inter-Malien est au cœur des préoccupations nationales, Moctar Ousmane Sy, président du Mouvement Génération Engagée (MGE), exhorte les autorités de la transition à éviter que cette rencontre ne devienne une simple formalité dénuée d’impacts tangibles sur la vie du pays. Moctar Ousmane Sy, figure influente de la jeunesse malienne, insiste sur […]

Il est temps pour les sages de la cour constitutionnelle du Mali de se hisser à la hauteur des enjeux et des défis existentiels auxquels le Mali est confronté. Il est temps pour eux, de donner davantage de sens à la toge et l'épitoge qui les caractérisent pour siffler la fin de la récréation. Ils doivent cela au peuple du Mali, qui a tant soif de justice, et qui réclame sans cesse progrès social.
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Grande Gueule : « Appel au sursaut national »

Via une sortie sur le mur de son compte Facebook, intitulée « Appel au Sursaut National », Dionké Fofana, Expert/Analyste en Sciences Politiques, Sociales et Économiques, opte pour un regain rapide de confiance, un aboutissement efficient et l’alignement de la trajectoire vers le progrès et le développement. Selon lui, certaines mesures doivent être observées. Lisez in extenso.

D’abord, dans son communiqué final ayant sanctionné son Sommet extraordinaire de la conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement à Abuja, le 24 février 2024, la CEDEAO a rappelé, ‘’dans le cadre de la coopération régionale pour la lutte contre le terrorisme, contre l’extrémisme violent et la criminalité organisée, ces trois pays ont bénéficié d’une enveloppe de 100 millions de dollars des Etats Unis, mobilisés par l’UEMOA au titre du Plan d’action de la CEDEAO contre le terrorisme. Par ailleurs d’autres montants ont été alloués à ces pays (7,5 millions de dollars) en vue de l’acquisition d’équipements destinés à les aider à lutter contre le terrorisme’’.
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CEDEAO : Quelles implications du retrait du Mali, du Burkina et du Niger?

Alors que le Mali, le Burkina Faso et le Burkina ont annoncé leur retrait de la CEDEAO au profit de l’Alliance des États du Sahel (AES), l’organisation sous-régionale dresse une litanie d’implications sur les plans politique, socioéconomique, financier et institutionnel pour les trois pays concernés et pour la CEDEAO en tant que groupe.Un moyen de tuer l’AES dans l’œuf ?