Alors que certains pays africains comme le Sénégal emboitent le pas à la France et d’autres pays européens, en suspendant le vaccin anti-Coid-19 AstraZeneca, le Mali ne pipe mot. Ce silence coupable risque de coûter aux autorités maliennes. |
Le Chef de l’Etat, garant de la santé des populations du Mali, a accueilli, en début d’après-midi du vendredi 5 Mars 2021, le premier lot de 396.000 doses du vaccin anti-Coid-19 AstraZeneca. Ce qui fait du Mali, « l’un des premiers pays africains et le premier pays sahelo-saharien à recevoir ces vaccins contre la COVID-19 dans le cadre de l’initiative COVAX. Une dynamique qui témoigne de la volonté des plus hautes autorités de protéger la population malienne contre cette pandémie mondiale ». Cette initiative a été saluée par beaucoup de Maliens. Certes. Mais, au fil des semaines, le vaccin semble plus dangereux, voire mortel.
En effet, une douzaine de pays dont la France d’Emmanuel Macron ont suspendu ledit vaccin, « après le signalement d’effets secondaires ‘’possibles’’ ». « À la suite de nombreux décès au décours de la vaccination anti-Covid par le vaccin AstraZeneca, une forte suspicion de la dangerosité des vaccins », indique le journal Le Point. Qui poursuit : « Le Danemark a été le premier pays le 11 mars à suspendre le vaccin d’AstraZeneca, après des rapports de cas graves de formation de caillots sanguins » chez des personnes vaccinées. Il a rapidement été suivi par l’Islande, la Norvège… »
Parmi les pays africains qui ont emboité le pays à la France et autres, le Sénégal. Car il s’agit de la santé des populations qu’il faut préserver.
Au Mali, les autorités n’ont rien dit pour le moment. Cette situation suivie par beaucoup de Maliens crée la panique. L’inquiétude est grandissante au sein de la population, alors réfractaire à ce sérum.
Président Bah N’Daw, on fait comment ?
D.C.A
Le SOFT