Le samedi 9 février 2019 a eu lieu, à Souleymanebougou, la cérémonie d’inauguration du siège du Club 66, couplée du lancement officiel de ses activités. C’était sous l’égide du Président du Club Abou Diarrassouba.
Le club 66 est une association de Droit privé basé au Mali dont les objectifs sont, entre autres, la promotion des valeurs relatives à l’entreprenariat, l’amélioration de l’employabilité de ses membres, la matérialisation de la solidarité agissante entre ses membres, la participation à l’éducation et à la formation professionnelle des membres avec leurs enfants.
Présentant le projet, le Secrétaire Général du club Maurice Coulibaly fera savoir que la vocation du club est de vivifier ses membres. Comme avantages dont bénéficieront l’ensemble des adhérents une somme d’argent appelée capital d’amorçage d’une valeur d’un million de FCFA pour démarrer leurs projets, l’attribution de 1150 lots de terrain doté de titre foncier, l’assistance à la recherche d’emploi, la prise en charge de la scolarité d’un enfant pour l’école fondamentale pour chaque adhérent, l’offre de 200 Bourses de formation professionnelle dans le Supérieur chaque année, l’Assurance accidents, la couverture médicale, le pèlerinage et le ravitaillement en alimentation générale.
Maurice Coulibaly a expliqué que les conditions requises pour être bénéficiaire de ces avantages sont, entre autres, devenir membres en s’inscrivant à 10.000FCFA, s’abonner, signer un contrat, assurer ses cotisations hebdomadaires de 225 FCFA.
Selon Abou Diarrassouba, Président du club, la création du club est l’aboutissement d’un rêve, celui d’un Mali plus juste et plus solidaire.
« Avec l’effort conjugué de tous, grâce au Club 66, ce rêve de création d’emploi et d’entreprenariat tant vu comme une utopie ne sera plu un rêve pour les Maliens et encore plus précisément pour les jeunes et les femmes », a déclaré Abou Diarrassouba.
Le Club 66, qui compte aujourd’hui 11 Bureaux à Bamako, envisage de mettre à la disposition de 200 personnes par semaine un capital d’amorçage pour lancer une activité économique.
Cyril ADOHOUN
Source : L’Observatoire