Les prénoms d’Aya Nakamura et Kylian Mbappé ont beaucoup influencé les jeunes parents. Ces derniers font leur entrée dans le classement.
Entre la victoire des Bleus en Coupe du Monde, en juillet 2018, avec Kylian Mbappé et les autres joueurs, et l’année de la consécration pour Aya Nakamura, ces derniers ne sont plus des inconnus. Le premier, l’était déjà bien avant le sacre des Français dans la plus grande compétition internationale de football. Par son rôle au sein du PSG et ses performances déjà exceptionnelles en Ligue 1.
En revanche, pour Aya Nakamura, cela n’a pas été aussi simple. C’est réellement cette année que l’artiste s’imposait et devenait l’une des artistes Françaises explosant le plus de records. Avec leurs performances, la rappeuse et Kylian Mbappé semblent avoir donner des idées aux citoyens du pays. En effet, leurs prénoms ont fait sensation car, comme le révèle Le Parisien, le prénom du joueur du PSG a été donné 1211 fois, contre 1169 pour celui d’Aya.
Nul doute qu’à ce rythme, les deux prénoms pourraient entrer dans le top 10 des prénoms français les plus donnés aux nouveaux nés !
Kylian Kylian Mbappé s’excuse
Entre le talent de Kylian Mbappé, et sa lucidité, il est facile de comprendre pour quelles raisons les nouveaux parents choisissent le prénom du joueur du PSG en exemple pour leurs futurs enfants. D’autant plus que la pépite française vient récemment de prouver qu’elle savait reconnaître ses erreurs. Comme durant la cérémonie des trophées UNFP, durant laquelle il faisait part de ses envies de départs.
En revenant sur cette histoire, l’attaquant parisien présentait ses excuses: « J’en profite pour m’excuser auprès des joueurs présents à cette cérémonie. J’ai un peu gâché la fête. Je vole la vedette négativement. Les fans m’en veulent aussi. Je m’excuse aussi. Disons que je m’excuse sans m’excuser parce qu’ils n’ont pas compris le message. Mais c’était dans l’intérêt du PSG ».
Mbappé ajoute ensuite: « Ces déclarations étaient assez ambiguës parce que j’ai laissé plein de portes ouvertes. Et à ce moment-là, personne n’était en mesure de savoir de quoi je parlais. Seul le président (Nasser Al-Khelaïfi), le coach (Thomas Tuchel) et moi savions. »
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