La situation qui prévaut actuellement à la Malienne de l’automobile ressemble à l’époque esclavagiste. A la différence qu’il est appliqué aux Maliens et par les Maliens.
En lieu et place de trouver un dénouement heureux qui serait de mettre les chauffeurs dans leur droit, un climat social délétère y prévaut. Pis, les choses se sont détériorées car depuis la publication de notre article sur la structure, les chauffeurs sont regardés d’un mauvais œil et les responsables sont à pied d’œuvre pour trouver celui ou celle, selon eux est entrain de donner l’information aux médias et punir avec la dernière rigueur. On se demande alors jusqu’où s’arrêtera Mme Fatoumata Kané dite baby et son adjoint de Vieux Mady Koné dans leur élan de casser le dos des chauffeurs.
Une disposition qui intrigue plus d’’un car des sources bien introduites font état de l’’implication du ministère de l’emploi sur la question. En effet, on apprend que le département en charge de l’emploi veut saisir la société chinoise Wawei pour ne pas reconduire le contrat avec la société tant que la situation des chauffeurs n’est pas régularisée. Cela va certainement être un coup dur pour la Malienne de l’automobile, car Wawei est considérée comme un des partenaires stratégiques de la boite.
Pour revenir à la situation sur des chauffeurs, il faut il faut rappeler qu’ils souffrent de tous les maux. Mauvais traitement, aucune considération et gars à celui qui tombe malade, il est immédiatement remplacé. A la Malienne de l’automobile, lorsque tu fais un accident, tu répares les dégâts. Et ce ne sont pas les anciens chauffeurs qui diront le contraire. Après des loyaux services à la Malienne, certains d’eux sont vus comme des malpropres car ils n’avaient aucune protection sociale en son temps.
Nous y reviendrons !
La Rédaction
Source: La Sirène