Beaucoup de Maliens ont souvenance que le jeudi 04 Mars 2021 se sont déroulés les travaux de l’assemblée générale constitutive du mouvement politique « Ben Kan » (Pacte citoyen) à l’issue desquels une grande annonce a été faîte, celle de porter la candidature de Monsieur Seydou Mamadou Coulibaly aux prochaines élections présidentielles.
L’homme qui a ainsi été gratifié ce jour mémorable de cet insigne honneur est le distingué patron du Conseil Ingénierie et Recherche Appliquée CIRA-MALI.
Certains réseaux politiques et une bonne partie de la presse nationale avaient pressenti ses légitimes intentions de briguer la magistrature suprême du pays pour apporter le changement tant attendu par le peuple malien.
Ayant donc accepté la requête du très discret mouvement, Monsieur Coulibaly doit se préparer à sauter le grand fossé qui se dresse entre le monde des affaires et les dédales de la vie politique.
Il s’est d’ailleurs exprimé en ces termes ce jour-là : « je m’engage solennellement à exécuter ma mission avec détermination, droiture, abnégation et humilité. La tâche est noble car il s’agit de remettre debout notre pays, notre unique patrie et aucun sacrifice ne serait de trop pour cela »
Les 30 (trente) ans d’exercice démocratique ont été très loin de combler les très fortes attentes du peuple malien, raison pour laquelle les compteurs ont été remis à zéro en ce qui concerne la conquête du poste tant convoité de Président de la République.
En contact permanent avec plusieurs personnalités influentes du pays, Seydou Mamadou Coulibaly semble être en terrain conquis. De sources généralement bien informées, nombreux sont les barons des formations politiques de la place qui lui sont redevables, et pour cause, il a largement contribué au financement de plusieurs listes lors des dernières campagnes législatives.
A ce titre, on ne lui refuse rien aujourd’hui dans la sphère politique malienne surtout qu’il détient le nerf de la guerre, pièce maître du jeu politique malien.
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Avec un tel pouvoir financier, aucune porte ne lui résiste. En clair, il bénéficie du soutien de plusieurs cadres de l’ADEMA-PASJ, du RPM, de l’URD et bien d’autres partis.
Patriote convaincu, cadre très compétent et facilement accessible, homme affable et très respectueux des leaders religieux, il est crédité d’un immense capital de confiance auprès de ces derniers.
Certaines langues acerbes vont jusqu’à affirmer qu’il est même le candidat de la junte qui aujourd’hui, préside aux destinées du Mali.
Sa candidature commence à susciter beaucoup d’enthousiasme auprès des grandes familles politiques maliennes qui n’hésiteraient pas un seul instant à lui ouvrir les portes de Koulouba en 2024.
Sur le plan international, Seydou Mamadou Coulibaly est détenteur d’un carnet d’adresses bien fourni.
Eu égard à l’influence qu’il exerce sur le monde hautement stratégique des affaires, il a réussi à établir de sérieux contacts avec plusieurs Chefs d’Etat de la sous-région. Ses atouts sont innombrables dans la course vers l’exercice de la fonction présidentielle.
Mais voilà que depuis un certain temps, de potentiels adversaires du PDG de CIRA-MALI font circuler les rumeurs les plus folles sur la personne désignée par « Ben kan » pour présider aux destinées du Mali.
Ils s’abonnent à des ragots dans le seul but de le disqualifier via des informations erronées et mensongères.
L’homme d’affaires dont les prédispositions présidentielles suscitent aujourd’hui peur et hantise au sein de certains états-majors politiques classiques est à abattre par tous les moyens.
Un moment donné, une information a été concoctée par ses détracteurs pour faire avaler à l’opinion nationale que le PDG de CIRA-MALI a bénéficié sous l’ancien régime d’un marché de 05 milliards relatif à un projet de construction des rails reliant Bamako à Kidal.
Dans tous les cas, Seydou Mamadou Coulibaly est un Self Made Man dans la pure tradition anglo-saxonne. Il est parti de rien pour se hisser au firmament des plus grands standards internationaux en matière d’expertise d’ingénierie, faisant ainsi de lui un exemple unique dans la sous-région.
Les succès et les marchés publics remportés dans les 26 pays où CIRA est implantée supposent un professionnalisme et une expertise avérée.
Rien ne s’oppose à son destin présidentiel.
Le baron
L’Observatoire