Après le départ définitif de la force de l’Opération Barkhane du Mali, Bamako accuse, preuves à l’appui, Paris et sa force Barkhane de fournir de l’armement et du renseignement aux groupes armés terroristes actifs au Mali. Les autorités de la transition ont ainsi saisi le Conseil de Sécurité des Nations Unies et réclamé la tenue d’une réunion d’urgence du Conseil. Paris s’étonne de la démarche.