Près de deux semaines se sont écoulées, et la situation reste tendue entre les usagers de la route nationale N° 16, tronçons Douentza-Boni et Hombori-Boni, et les Groupes Armés Terroristes (GAT), nouveaux maîtres de la zone. Malgré les nombreuses alertes émanant de la population, c’est le silence radio des autorités de la transition.