Alors que le Mali, le Burkina Faso et le Burkina ont annoncé leur retrait de la CEDEAO au profit de l’Alliance des États du Sahel (AES), l’organisation sous-régionale dresse une litanie d’implications sur les plans politique, socioéconomique, financier et institutionnel pour les trois pays concernés et pour la CEDEAO en tant que groupe.Un moyen de tuer l’AES dans l’œuf ?