En Afrique subsaharienne, l’extrémisme violent se retrouve nourri en grande partie par le manque d’emploi selon l’ONU. Pour étayer cette théorie, une vaste enquête a été réalisée auprès de 1.200 personnes issues de huit pays touchés par le djihadisme et elle révèle que la religion n’est que le troisième facteur d’engagement dans les rangs des groupes armés terroristes qui sévissent au Sahel.