Si l’incendie du bras-de-fer post-électoral n’a l’air de s’éteindre aussi rapidement qu’on s’y attendait, la faute revient en grande partie au nouveau pouvoir d’IBK. Toujours vaillamment contesté par le camp de l’opposition, le président sortant ne propose toujours de recettes autres qu’une solution répressive qui tranchent visiblement avec la main-tendue qu’il n’a de cesse de ressasser […]