Le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga est clair, l’Algérie ‘’a sapé sa crédibilité et son autorité de médiateur impartial’’, d’où la fin de l’Accord pour la paix et la réconciliation (APR) de 2015 issu du processus d’Alger dont le gouvernement a dû constater, le 25 janvier 2024, l’inapplicabilité et la caducité après un long et lourd investissement politique et financier.