A l’ouverture, M. MAÏGA a expliqué que malgré les investissements faits dans le domaine de la santé les indicateurs ne sont toujours pas à hauteur de souhait. « Le taux de mortalité infantile est de 54 décès pour 1 000 naissances vivantes ; le taux de mortalité infanto-juvénile est de 101 décès pour 1 000 naissances vivantes ; 33 % de naissances ont lieu en dehors d’un établissement de santé ; seulement 45 % d’enfants de 12 à 23 mois ont reçu tous les vaccins de base ; 1 sur 3 des enfants de moins de 5 ans ont un retard de croissance ; seulement 40% des enfants de moins de 6 mois sont exclusivement allaités au lait maternel ; moins de 3 millions d’indigents sont enrôlés ; forte méconnaissance des systèmes de protection sociale. Fort de ces constats, de nouvelles stratégies doivent être envisagé afin de rapprocher les soins aux populations et de mieux faire comprendre notre système de santé et de protection sociale », a-t-il souligné
Société UNE

Mois de la santé et de la protection sociale : Un cadre de communication et d’échanges entre les acteurs et les bénéficiaires

Sous le haut patronage, de Monsieur le Premier Ministre par intérim, Colonel Abdoulaye MAIGA, cette cérémonie, pour atteindre les objectifs escomptés, a privilégié l’inclusivité, en termes de participation. A l’ouverture, M. MAÏGA a expliqué que malgré les investissements faits dans le domaine de la santé les indicateurs ne sont toujours pas à hauteur de souhait. « Le taux de mortalité infantile est de 54 décès pour 1 000 naissances vivantes ; le taux de mortalité infanto-juvénile est de 101 décès pour 1 000 naissances vivantes ; 33 % de naissances ont lieu en dehors d’un établissement de santé ; seulement 45 % d’enfants de 12 à 23 mois ont reçu tous les vaccins de base ; 1 sur 3 des enfants de moins de 5 ans ont un retard de croissance ; seulement 40% des enfants de moins de 6 mois sont exclusivement allaités au lait maternel ; moins de 3 millions d’indigents sont enrôlés ; forte méconnaissance des systèmes de protection sociale. Fort de ces constats, de nouvelles stratégies doivent être envisagé afin de rapprocher les soins aux populations et de mieux faire comprendre notre système de santé et de protection sociale », a-t-il souligné.