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Vente de médicaments de la rue : La mort moins chère

De nos jours, des milliers de personnes meurent à cause des médicaments de la rue. La vente desdits médicaments est légion dans tout le pays, entraînant la morte gratuite des citoyens.

La plupart de ces médicaments sont importés du Nigéria, un pays de l’Afrique de l’Ouest où ils seraient fabriqués sur place ou importés de l’Inde et de la Chine. Proposés dans les lieux de grande fréquentation comme le Grand Marché de Bamako  et le Marché de Médine,  ces médicaments sont souvent étalés sur des étagères couvertes par un simple parasol

Selon M. Bakary Diarra, habitant à Faladié, les médicaments dans la rue ne sont pas   bons pour la santé, mais le  prix  est abordable pour moi que ceux de la pharmacie. « C’est par manque de moyens que j’achète ces médicaments », soutient-il.

Mme Oumou Cissé, vendeuse de médicaments dans la rue affirme que ces médicaments sont le plus achetés que ceux de la pharmacie, parce que les prix sont à la portée de toute personne. Il faut aussi reconnaitre que ces médicaments ont des dates périmés, par conséquent nuisible à la santé.

« Les médicaments dans la rue n’est pas du tout bon pour la sante parce que sa aggrave certains maladie », a-t-elle martelé.

Il faut noter que ces médicaments sont pris à tue-tête  car la dose n’est pas indiquée et cela  provoque des complications, qui conduisent des fois à la mort.

Le gouvernement doit prendre des dispositions et surtout des mesures pour lutte contre la vente des médicaments dans la rue  et même mettre fin à ce commerce qui coûte la vie

L’achat des médicaments de la rue est dû en partie à la pauvreté. Beaucoup de personnes achètent ces médicaments parce qu’ils n’ont pas d’autres choix. Tout   le monde ne se permet pas d’acheter les médicaments autorisé, mais sait que  qu’à la pharmacie, pas d’argent, pas de médicament. C’est à cause de la pauvreté que la plupart des populations sont dans la facilité.

Le mal étant connu, l’Etat doit davantage mettre les médicaments à la portée des populations.

Hawa TRAORE, Stagiaire

L’Observatoire

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