Il n’y a pas de solution simple pour résoudre les conflits entre justice et religion. Cependant, il existe des approches possibles pour trouver un terrain d’entente. Tout d’abord, il est important que les gouvernements respectent la liberté religieuse et la liberté de conscience de leurs citoyens. Cela signifie que les gouvernements ne doivent pas imposer une religion particulière ou interdire la pratique religieuse. Les gouvernements doivent également être conscients des différences culturelles et religieuses dans leur pays et doivent s’efforcer de créer un système juridique équitable qui prend en compte ces différences.
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Justice et religion : De la liaison étroite au conflit

Le conflit entre justice et religion a été un sujet de débat depuis des siècles. Bien que les deux concepts soient souvent considérés comme étant étroitement liés, il arrive que des conflits surgissent lorsque les lois laïques sont en conflit avec les lois religieuses. Dans cet article, nous allons examiner la relation entre la justice et la religion, les causes de conflit entre les deux, ainsi que les solutions possibles pour les résoudre.

Aguibou Bouaré- président CNDH-Mali
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Aguibou Bouaré, président de la CNDH-Mali : « La démocratie dans l’absolu ne saurait être en cause ! »

Malgré que « le meilleur modèle démocratique est indissociable de l’Etat de droit, du respect des droits inhérents à la personne humaine », le président de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) – Mali, Aguibou Bouaré, est formel : « La démocratie dans l’absolu ne saurait être en cause ! »

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Grande Gueule : Peuple, population et politique: la différence »

En politique, le terme « peuple » se réfère généralement à l’ensemble des citoyens d’un pays ou d’une nation considérée comme un groupe homogène ou une communauté politique. Le peuple est souvent considéré comme souverain et détenteur du pouvoir politique dans une démocratie, où il exerce son pouvoir à travers des élections et des représentants élus.

En remplaçant officiellement les opérations militaires Françaises par celles de la Russie, assurées par des instructeurs russes depuis deux ans, Bamako montre toute sa fierté à son nouvel allié.
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Éditorial : Sergueï Lavrov et l’hydre du Sahel

Un geste symbolique. Abdoulaye Diop a offert un cadeau plein de signification à son homologue, chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, en visite à Bamako, le Mardi 7 Février dernier. Il s’agit d’un magnifique sabre utilisé par les Touaregs au Mali. Ce sabre s’appelle ‘’Takuba’’. Ce nom a été donné aux forces européennes pour lutter contre le terrorisme dans le Sahel. C’est dire que Takuba est désormais entre les mains des Russes.

Hamidou Doumbbia, Secrétaire politique du parti Yelema
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Grande Gueule : « Mon analyse personnelle sur le projet de constitution »

A prime abord, on remarquera que la constitution n’est pas nouvelle car elle ne met pas sur pied une nouvelle république mais elle se contente de modifier la constitution actuelle en y ajoutant d’autres institutions. Fondamentalement, il s’agit d’un régime présidentialiste et non présidentiel avec un président de la république doté de pouvoirs importants et renforcés.