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Grande Gueule : « Le chiffre noir de la criminalité, une réalité »

La criminalité est un problème de société majeur qui affecte des millions de personnes dans le monde. Les gouvernements et les organisations travaillent sans relâche pour prévenir et combattre la criminalité, mais il existe une réalité complexe et difficile à mesurer : le chiffre noir de la criminalité.

Le chiffre noir de la criminalité fait référence à la partie de la criminalité qui n’est pas signalée aux autorités ou qui n’est pas enregistrée dans les statistiques officielles. En d’autres termes, il s’agit de la criminalité qui passe inaperçue et qui n’est donc pas prise en compte dans les politiques de prévention et de répression de la criminalité.

Le chiffre noir de la criminalité est un problème majeur pour les gouvernements et les organisations qui cherchent à lutter contre la criminalité. Sans connaître l’ampleur réelle du problème, il est difficile de mettre en place des politiques efficaces pour prévenir et combattre la criminalité. Les gouvernements et les organisations ont besoin de données précises et fiables pour comprendre la nature et l’étendue de la criminalité et pour élaborer des stratégies de prévention et de répression.

Le chiffre noir de la criminalité est le résultat de divers facteurs. Tout d’abord, de nombreuses victimes ne signalent pas les crimes qu’elles ont subis, souvent par peur de représailles ou de stigmatisation. Certaines victimes pensent également que le signalement ne servira à rien ou qu’il sera trop difficile de prouver le crime. D’autres encore ne signalent pas les crimes parce qu’ils ne veulent pas se faire embêter par la police ou les autorités.

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En outre, le chiffre noir de la criminalité est également causé par le manque de confiance dans les autorités et les institutions chargées de la lutte contre la criminalité. Certains citoyens peuvent considérer que les autorités sont inefficaces, corrompues ou injustes et préfèrent donc ne pas signaler les crimes.

Crimes souvent non signalés

Enfin, certains types de crimes sont plus susceptibles de ne pas être signalés que d’autres. Les crimes sexuels, les crimes domestiques et les crimes économiques, par exemple, sont souvent cachés et difficilement dénoncés.

Pour mesurer le chiffre noir de la criminalité, les gouvernements et les organisations peuvent utiliser des enquêtes auprès des victimes, des enquêtes sur les crimes non signalés, des enquêtes de victimisation et des enquêtes sur la perception de la criminalité par les citoyens. Ces enquêtes permettent d’obtenir des informations précieuses sur les crimes non signalés, les raisons pour lesquelles ils ne sont pas signalés et les attitudes des citoyens envers les autorités.

En conclusion, le chiffre noir de la criminalité est une réalité complexe et difficile à mesurer, mais il est essentiel de le comprendre pour élaborer des politiques efficaces de prévention et de répression de la criminalité. Les gouvernements et les organisations doivent travailler pour améliorer la confiance des citoyens dans les autorités et encourager les victimes à signaler les crimes. Ils doivent également investir dans des enquêtes et des recherches pour mieux comprendre le phénomène du chiffre noir de la criminalité.

Cyril Roc DACK/Icimali.com

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