Culture

FESTIVAL DE GRILLADES :Vivre ensemble, le pardon, de communion entre Maliens

Les berges du Fleuves Niger du Plais de la Culture de Bamako a abrité ce jeudi 29 mars 2018 la cérémonie du lancement de la quatrième édition du Festival des Grillades.

C’est parti pour quatre jours, du 29 mars au 1er avril 2018, sous le thème : « Le vivre ensemble, le pardon, de communion entre nous Maliens », l’édition 2018 du Festival des Grillade. Qui est un lieu d’échanges, de partage de choses.

Selon le directeur du festival, Ousmane Barry, le concept de ‘’Festi Gril’’ vise à créer un espace culturel, gastronomique pour le restaurateur pour se faire découvrir ou se faire connaitre davantage et de promouvoir les grillades Africaine.

« Nous avons eu de bonnes personnes qui nous ont soutenus,  de plus l’évènement se fait connaitre ici à Bamako. Les gens nous appellent tout le temps. Je suis très surpris quand des gens me demandent que ce festival ait lieu à la fin de chaque mois. Du coup, je pense que l’événement plait aux gens. Je pense qu’ils viendront en couple, entre amis », a déclaré le promoteur du Festi Gril, monsieur Ousmane Barry.

A en croire au promoteur, 20 stands sont déjà installés, les différentes variétés sont les rôtisseries du Nord, du Sud du Mali, ceux ivoiriens, togolaises, sénégalais. Il y a aussi les « michioui », du Nioro du Sahel. Il s’agit des viandes grillées de la rôtisserie Titanic de Abba, les pintades, poulets, les poissons et autres.

Ce n’est pas seulement les grillades, il y a aussi des places pour les concerts géants, car pleins d’artistes sont attendus. L’entrée est payante,  elle est seulement à 2000 FCFA, qui ne peuvent pas empêcher quelqu’un de venir déguster son plat préféré. Nous devons venir non seulement dans un esprit festif.

« Nos attentes cette saison sont de 4000 personnes, pourvu que ce festival soit connu, par les Maliens. Le budget estimatif du festival est de 87 millions de FCFA », a précisé Ousmane Barry.

L’innovation de cette édition est l’espace créé, appelé « espace chicha », après les concerts géants. C’est un coin vip où on peut fumer, boire.

« J’appelle tous les maliens  de se réunir une seule fois par an pour vraiment se confirmer, côté recettes. Les restaurants qui font confiance vont venir », a-t-il conclu.

Cyril ADOHOUN

 

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