Le parti d'opposition, la CODEM, considère le processus en cours comme inopportun et illégal, prenant acte de la date fixée au 18 juin pour le référendum. Selon la CODEM, un pouvoir issu des armes ne devrait pas mener une telle réforme en raison d'un manque de légitimité et d'une "impréparation avérée".
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Fin de la transition : Housseïni Amion Guindo dénonce l’usage des armes ‘’face au peuple aux mains nues’’

Alors que le retour à l’ordre constitutionnel et la fin de la transition au Mali se font attendre avec impatience, Housseïni Amion Guindo, président du parti CODEM dit constater que « les autorités de la transition n’ont pas jugé nécessaire de communiquer sur leurs intentions, convaincues de leur position de force (détenant les armes) face au peuple meurtri et aux mains nues ».