A l’issue de la rencontre d’Accra, ce 9 janvier 2022, les Chefs d’États de la CEDEAO ont décidé des sanctions supplémentaires contre le Mali. Une forme d’épée de Damoclès qui pèse sur Bamako qui doit choisir entre revoir son chronogramme des élections et livrer le peuple aux affres desdites sanctions.