L’élection du bureau du Conseil malien des chargeurs prévue pour le samedi 30 juillet prochain provoque des remous au sein du monde des affaires, jusqu’à la Chambre de commerce et d’industrie du Mali, cette autre institution consulaire qui, malheureusement, se fait remarquer de plus en plus, notamment par deux de ses dirigeants dont les manœuvres visent à imposer un candidat autre que celui pressenti à ce jour. Question de faire main basse sur le CMC en y plaçant un pantin de président, disons un gestionnaire de leurs intérêts par procuration.