Mon cher premier ministre, mon cher Choguel, permettez-moi à l’entame de mon propos de vous réitérer mes meilleurs vœux de succès à vous et à votre équipe pour une transition réussie et apaisée. Dans cette aventure à bord du Mali express, il ne peut y avoir de destin individuel glorieux s’il ne s’inscrit pas dans le cadre d’un destin global, collectif et harmonieux car le pays étant sérieusement à l’abîme, s’il s’écroule, il n’y aura point de salut pour personne.