Après le 63ème sommet ordinaire de la CEDEAO, en Guinée-Bissau le dimanche 9 juillet dernier, des « sanctions majeures » planent désormais sur le Mali, le Burkina Faso et la Guinée Conakry en cas de non-respect des échéanciers de 24 mois fixés aux trois pays en phase de transition pour un retour à l’ordre constitutionnel. Est-ce le début d’un nouveau bras de fer ?