Alors que le président déchu est aux mains de ses renverseurs depuis le putsch survenu en juillet dernier, la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), soutenue par un pays occidental, semble toujours privilégier l’option militaire plutôt que le dialogue. Deux questions se posent alors : pourquoi cette réticence envers une intervention militaire ? Est-ce que Bazoum détient des informations sensibles ?