Le chronogramme des élections transmis par les autorités de la Transition à la CEDEAO, « prolongeant la transition pour une durée cumulée de 6 ans et 6 mois », suscite « stupeur » et remous au sein du Cadre d’échange des partis et regroupements politiques pour une transition réussie au Mali, qui parle d’« une quelconque tentative de confiscation du pouvoir par la force et la ruse ».