Société

Soutien aux FAMa : le Mouvement IBK-Kanou donne l’exemple

Pour soutenir nos forces Armées dans leur mission de lutte contre le terrorisme, le Mouvement IBK-Kanu tient à réaffirmer son engagement et sa détermination. C’était lors d’un point de presse tenu, la semaine dernière dans le quartier général dudit mouvement sis à Missira.

Animée par la secrétaire générale, Adam Sidibé et le superviseur national Mamadou Togola, cette conférence a réuni plusieurs militants importants du MIK et des hommes des médias.

Force est de constater ces derniers temps que plusieurs regroupements politiques et ceux de la société civile ont manifesté leur soutien aux FAMA suite aux récents évènements qu’ont connu nos vaillants soldats.

C’est dans cette logique que les fidèles et compagnons du Président de la République ont animé un point de presse pour témoigner aux FAMA de leur soutien infaillible.

Le superviseur national du MIK et non moins président du Club des amis à Karim Keita (CAKK), a d’abord adressé ses remerciements à l’endroit des journalistes et militants présents pour la circonstance.

Ensuite, il a salué la présence des notabilités et des responsables de la commune II, en général et du quartier Missira en particulier.

Adam Sidibé, secrétaire générale du Mouvement IBK-Kanu, à son tour, a demandé à l’ensemble des participants d’observer une minute silence, en la mémoire de nos soldats tombés sur les champs de bataille.

Selon elle, cette conférence a pour but non seulement d’informer l’opinion nationale et internationale, par rapport au soutien du mouvement IBK-Kanou aux FAMa mais elle tient aussi à rappeler les actions du gouvernement en faveur de la lutte contre l’insécurité et celles de la justice, dans la lutte contre la corruption.

A ses dires « Cette guerre imposée à notre pays, par les forces obscurantistes, ne peut être gagnée que dans l’union et surtout dans la coopération avec nos Forces armées. Nous invitons le peuple à plus de vigilance et tout en acceptant d’alerter les Forces de sécurité, pour des cas suspects », a-t-elle sollicité.

Par ailleurs, la secrétaire générale invite les réticents au Dialogue national inclusif (DNI), à bien revoir leur agenda et accepter de répondre à ce grand rendez-vous car selon elle, c’est la survie de la nation qui en dépend.

 

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