Malgré des informations sur ses accointances avec les justices française et nigérienne, qui vont bientôt le traquer, Aliou Boubacar Diallo propose une voie d’escroquerie par l’identification des empreintes digitales sur les bulletins de vote de l’élection présidentielle.
La cupidité a son long chemin à faire devant le candidat malheureux de l’ADP-Maliba au premier tour de l’élection présidentielle du 29 juillet 2019. Depuis que le Ministère en charge des élections a publié les résultats provisoires le reléguant à la troisième place avec un score de moins de 8%, Aliou Boubacar Diallo n’a plus l’esprit tranquille. Non seulement il doit faire bon gré mal gré avec le régime d’IBK, mais les justices française et nigérienne seraient à ses trousses pour escroquerie. Certains de nos confrères n’ont pas manqué de faire du sujet le choux gras dans leurs colonnes.
«Chasser la naturel, il revient au galop », a déclaré un Philosophe. Habitué des milieux de magouilles, le malheureux candidat du premier tour de la présidentielle, non moins fils spirituel du Chérif de Nioro, cherche à compenser ses énergies financières dans l’élection présidentielle sur le dos du contribuable malien.
Lors du meeting de contestation du Groupe des 18 (ils ne le sont pas non plus), au Palais de la Culture Amadou Hampaté Bah, le mardi 7 août 2018, Aliou Boubacar Diallo renait de ses cendres avec une proposition d’escroquerie.
«Nous avons engagé une société étrangère pour l’identification des empreintes digitales sur les bulletins de vote. Identifier les 3 millions de bulletins ne prendra même pas 5 jours. Cela permettra de montrer aux yeux des Maliens que le Candidat IBK a triché et qu’il n’est même pas qualifié au second tour. S’ils n’ont rien à cacher, qu’ils acceptent notre proposition», a-t-il honteusement et haineusement déclaré.
Cette propose prouve à suffisance l’ignorance politique d’Aliou Boubacar Diallo qui, malgré qu’il ne soit pas prêt pour s’aventurer sur ce terrain, y va par souci de venger IBK à tout prix.
D.C.A
Source: Le Soft