Assimi GOÏTA- Président de la Transition_ Fousseyni SAMAKÉ-président de la Commission rédaction de la Nouvelle Constitution
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Nouvelle Constitution: Le Président Assimi renvoie la Commission de Rédaction à ses missions

Le Président de la Transition, SE le Colonel Assimi GOÏTA, Chef de l’État, a présidé la cérémonie d’installation des membres de la Commission de rédaction de la Nouvelle Constitution du Mali. Ce 12 juillet 2022 dans la salle des banquets de Koulouba, en présence du Premier ministre, du Président du Conseil national de Transition, du ministre de la Refondation de l’État, Chargé des Relations avec les Institutions, ainsi que des membres du Gouvernement.

Dans ledit communiqué, le Gouvernement du Mali prend acte du Communiqué final de la 3me Session extraordinaire de la Conférence des Chefs d'État et de Gouvernement de la CEDEAO sur la situation au Mali et en Guinée, tenue, le 07 novembre à Accra.
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Vote de la loi électorale : Pourquoi le Premier ministre ne démissionnera pas ?

Quand la haine pour un homme vous empêche de réfléchir vous ne ferez que vous mettre le doigt à l’œil, cette vérité, nos hommes politiques l’apprennent à leurs dépens. En focalisant tout le débat sur la personne du Dr Choguel Kokalla Maïga, Premier ministre de la transition, nos conseillers du Conseil national de transition (CNT) qui jouent aujourd’hui le rôle de l’Assemblée nationale, ont voté une loi qui écarte carrément les politiques qu’ils sont du jeu électoral car, au final, tout le pouvoir vient se retrouver dans les mains du président de la transition, Son Excellence, le colonel Assimi Goïta.

ADEMA-PASJ_6ème Congrès ordinaire
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Chronogrammes des réformes et des élections : L’ADEMA-PASJ salue le sens de réalisme des plus Hautes autorités de la Transition

Dans sa déclaration ci-dessous, suite à la publication des chronogrammes détaillés des réformes et des élections par le gouvernement, l’ADEMA-PASJ salue le sens de réalisme des plus Hautes autorités de la Transition qui ont fait du Ministère de l’Administration Territorial et de la Décentralisation, le centre de gravité des questions électorales et des réformes politiques et institutionnelles.

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Calendrier électoral : Les dates indiquées seront-elles respectées ?

Le chronogramme des réformes politiques et institutionnelles ainsi que celui du référendum constitutionnel et des élections devant aboutir au rétablissement de l’ordre constitutionnel au Mal est officiel. Alors que les scrutins référendaires, locaux et législatifs sont fixés pour courant 2023, les élections présidentielles auront lieu le 4 février 2024 pour le premier tour et le 18 février pour le second tour.

Me Kassoum Tapo-Avocat-Président MORENA
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Me Kassoum Tapo : « Non, la candidature du président de la Transition…le chronogramme est réaliste »

« Non », a-t-il répondu, « la candidature du président de la Transition est régie par la Charte de la Transition. La charte même révisée prévoit que ni le Président de la Transition ni le Premier ministre ni les membres du Gouvernement ne peuvent prendre parti aux élections qui viennent. C’est un faux débat. Cette disposition concerne l’ensemble des militaires. Les autres militaires qui veulent participer aux élections, c’est leur droit, mais ils quittent l’armée ».

Mamadou-Diarrassouba-deputé-élu-à-Dioïla-et-president-de-la-14
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Chronogramme des réformes politiques et institutionnelles : Diarrassouba appelle Dioïla à soutenir sans réserve la transition

A pas de charge, Mamadou Diarrassouba était dans son fief électoral, Dioïla, le week-end dernier, pour expliquer  à la population de Dioïla le bienfondé des réformes politiques et  institutionnelles.  A cette occasion,   il a invité la population de la région à accompagner  les autorités de la transition, notamment dans ses efforts de sécurisation du pays.

M5-RFP-version Bittar
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Débat sur la loi électorale : Le M5 sur le point de tout gâcher

Un doigt accusateur est pointé sur le M5 RFP de Choguel Maïga qui a lancé une vaine polémique. Le président de la transition a promulgué la loi électorale vendredi dernier (24 juin), alors que le Premier ministre ne le voulait pas. Ainsi, les proches de Choguel Kokalla risquent de mettre en péril le fragile équilibre entre les pouvoirs qui composent la transition. Cela se voit à travers ce qui est arrivé après le rejet de la première mouture de la loi électorale.

Dans ledit communiqué, le Gouvernement du Mali prend acte du Communiqué final de la 3me Session extraordinaire de la Conférence des Chefs d'État et de Gouvernement de la CEDEAO sur la situation au Mali et en Guinée, tenue, le 07 novembre à Accra.
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Promulgation de la loi électorale : La démission de Choguel s’impose !

En dehors du tintamarre provoqué par le vote de la loi électorale par le CNT, dû principalement à l’attitude de défiance du gouvernement, le président de la transition, sans hésiter, l’a promulguée et l’a publiée au Journal officiel. Dès lors que le gouvernement s’était mis dans la logique de contestation de la loi électorale, arguant qu’il ne s’y reconnaît plus (200 articles font l’objet des 92 amendements sur  les 227 articles), cet acte du président de la transition met le Premier ministre en mauvaise posture. Comment va-t-il surmonter ce cuisant désaveu politique ?