Le récent congrès du Rassemblement Pour le Mali (RPM), parti politique majeur du pays, avait été anticipé comme un moment de rassemblement et d’unité, mais les divergences internes persistent, laissant entrevoir des tensions et des contestations quant à la direction future du parti. Alors que le congrès s’est tenu et que Bokary Treta a été réélu à la tête du parti, la fronde au sein du RPM ne semble pas avoir trouvé de résolution.
Le parti Rassemblement Pour le Mali (RPM) a réussi à refermer les plaies causées par la récente crise interne, démontrant ainsi sa résilience et sa détermination. Lors du premier congrès extraordinaire qui s’est tenu les 26 et 27 août derniers au Centre International de Conférence de Bamako (CICB), militants et leaders ont uni leurs forces pour restaurer l’harmonie au sein de la famille politique.
Le Rassemblement Pour le Mali (RPM), parti politique dirigé par Dr Bokary Treta, s’apprête à organiser son tout premier Congrès Extraordinaire, ce samedi 26 et dimanche 27 août 2023 au CICB. Cette annonce qui a suscité des réactions diverses au sein du parti, reflète les enjeux et les perspectives, et marque un tournant crucial pour l’avenir du parti.
A moins de huit mois des élections locales, législatives et présidentielles, la transition est confrontée à des impératifs liés au calendrier électoral. Face aux exigences de la classe politique et aux contraintes du temps et de la réalité du terrain, le gouvernement peut-il respecter ses engagements ?
Dans une sortie sur son compte Facebook, le mardi 1er août 2023, le président d’honneur de l’Alliance Démocratique pour la Paix (ADP – Maliba), Aliou Boubacar Diallo, a exprimé son opposition catégorique à l’implication du Mali dans le conflit au Niger. Il a souligné la nécessité de préserver la paix et de combattre le terrorisme par des moyens démocratiques.
Le Professeur Marimantia Diarra est une personnalité malienne aux multiples facettes, né à Diema, dans le Cercle de Diéma, en 1948. Titulaire d’un doctorat en géographie et aménagement de l’Université de CAEN en France en 1985, il occupe actuellement le poste de professeur d’enseignement supérieur de classe exceptionnelle, témoignant ainsi de son expertise et de son dévouement dans le domaine de l’enseignement supérieur.
Entre un Choguel Kokalla Maïga qui peine à porter le manteau de Premier ministre et un Nouhoum Sarr toujours aux aguets, le torchon ne cesse de brûler. Les déclarations acerbes du Premier ministre contre l’ancien Président Alpha Oumar Konaré ont suscité une vive réaction de la part du membre du Conseil National de transition, qui a assimilé cette sortie à une sortie « scandaleuse » et « contraire aux traditions républicaines ».
Tout semble être acté pour un départ définitif de la Minusma du sol malien d’ici décembre 2023. Cependant, l’année 2024 s’annonce décisive pour le pays car elle est l’année des défis électoraux qui doivent également sonner le glas de la transition qui a débuté depuis trois longues années. Cependant, des interrogations demeurent au sujet de l’organisation même de ces échéances électorales dans un contexte particulier.
Le Premier ministre (PM) Dr Choguel Kokalla Maïga est confronté à une demande pressante de la part de la classe politique pour ses critiques non constructives dans l’exercice de ses fonctions. Cette demande a été émise par Seydou Traoré de l’ADEMa-PASJ, ancien ministre de 2002 à 2007, qui souligne l’importance d’une vision commune pour le pays.
Le Président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, a donné de nouvelles directives claires à l’équipe gouvernementale remaniée du Premier ministre Choguel Kokalla Maïga. Lors de la session ordinaire du Conseil des Ministres du mercredi 5 juillet 2023, le Président de la Transition a insisté sur l’importance de placer les populations maliennes au centre des préoccupations du gouvernement.