À l’heure où la presse écrite malienne traverse l’une des périodes les plus critiques de son histoire, une question s’impose avec force : qui mieux que Boubacar Yalkoue pour redonner à cette corporation la place qui lui revient ? À la fois journaliste engagé, directeur de publication respecté et acteur de terrain, Boubacar Yalkoué est aujourd’hui candidat à la présidence de l’Association des Éditeurs de Presse Privée (ASSEP), porté par l’espoir d’une génération et la confiance de nombreux patrons de presse.
Depuis des années, Yalkoué est sur tous les fronts médiatiques. De la défense de la liberté de la presse aux plaidoyers pour de meilleures conditions de travail pour les journalistes, il incarne un engagement constant et sans concession. Sa présence active dans les débats, son courage face aux menaces, et sa capacité à rassembler en font une figure incontournable du paysage médiatique malien.
S’il est aujourd’hui le plus jeune candidat à briguer la présidence de l’ASSEP, il n’en est pas moins l’un des plus expérimentés sur le terrain des combats pour la dignité de la presse. Son âge est un atout : il incarne la relève, le souffle nouveau, l’énergie que réclame une presse en quête de renouveau.
Héritier d’une tradition d’engagement
L’ASSEP a toujours été dirigée par des hommes de conviction si ce n’est pas recemment, des figures prêtes à défendre la corporation, souvent au prix de leur propre liberté, voire de leur vie. Ce sont ces valeurs la loyauté, la droiture, l’abnégation que Boubacar Yalkoué entend perpétuer, avec une vision tournée vers la modernisation, la formation continue, et la réhabilitation du métier de journaliste.
- A LIRE AUSSI : https://icimali.com/a-osaka-le-pm-general-abdoulaye-maiga-vend-la-destination-mali42599-2/
A Osaka, le PM Général Abdoulaye Maïga vend la destination Mali
Des centaines de directeurs de publication soutiennent aujourd’hui sa candidature, conscients qu’il représente une synthèse rare entre engagement de terrain et capacité de leadership. Ils voient en lui l’homme de la situation, capable de négocier avec fermeté, de fédérer les énergies et de relever les défis structurels qui assaillent la presse écrite.
À travers sa candidature, Boubacar Yalkoué ne cherche ni prestige personnel ni reconnaissance artificielle. Il propose une mission : celle de redorer le blason de la presse écrite, de défendre ses intérêts, de restaurer son autorité morale dans un paysage médiatique en pleine mutation.
Nous sommes à un tournant décisif, un moment où l’on ne peut plus se permettre de laisser mourir une presse qui a tant donné pour la démocratie et la cohésion nationale. Face à la précarité, à l’érosion des ventes, au manque de soutien institutionnel, il faut des hommes debout, lucides et courageux. Boubacar Yalkoué est de ceux-là.
C’est dans cet esprit, cette dynamique et cette vision claire de l’avenir que sa candidature s’impose comme une évidence pour beaucoup. Le changement n’est pas une promesse : c’est un devoir. Et qui mieux que Yalkoué pour l’accomplir ?
A.D
Source : La Sirène