À l’indifférence des railleries des affidés du régime, au crochet de la perpétuation du statu quo, l’ancien Premier ministre Moussa Mara et son parti, ont, durant cette période de transition, multiplié les actions concrètes au profit des populations à travers le pays. Objectif, atténuer leur souffrance, le temps que le pays reparte sur de bonnes bases.
Actualité UNE

Soutien par action sous la transition : L’exemple Mara et son parti

À l’indifférence des railleries des affidés du régime, au crochet de la perpétuation du statu quo, l’ancien Premier ministre Moussa Mara et son parti, ont, durant cette période de transition, multiplié les actions concrètes au profit des populations à travers le pays. Objectif, atténuer leur souffrance, le temps que le pays reparte sur de bonnes bases.  

Si toute crise rime avec la multiplication des attentes engendrées par la dégradation du climat social, le parti Yèlèma, créé en 2010, a fait du secours des populations, la priorité de ses priorités au Mali depuis le début de la transition. Le tout dans un esprit carrément désintéressé et démarqué de tout populisme.

C’est pourquoi, selon une source introduite, l’ancien premier ministre Moussa Mara et son parti se sont départis des vieilles méthodes de consternantes de passivité, en apportant leurs soutiens accrus aux populations qui subissent de plein fouet la crise, nous confie un militant de Yèlèma dans la région de Mopti qui, depuis trois ans, est préoccupé par la problématique de l’insécurité qui empêche les populations d’effectuer les travaux champêtres dans plusieurs localités.

Dès les premières heures de la transition qui a démarré en août 2020, plusieurs centaines de millions de nos francs ont été déboursées par le Président Mara et son parti pour la cause des populations des régions comme Mopti, Gao, Ménaka, Bandiagara, Kayes et Tombouctou, etc.

« L’objectif est d’aider les populations dans un premier temps à assurer leur autonomie financière face à la situation difficile », explique un jeune militant du parti « Le Changement ».

Concrètement, les leaders du parti se sont tournés vers l’autonomisation des jeunes et des femmes et la création des emplois par des concours financiers se chiffrant à plus de 90 Millions de francs Cfa. Un montant qui, selon une source documentée, a servi à financer des projets encore existants et à créer plus de 200 emplois dans la seule Commune IV du District de Bamako.

À l’intérieur du pays également où la situation est beaucoup plus difficile qu’à Bamako, le parti et son président ont apporté leurs gestes de solidarité, devenue traditionnelle aux populations à l’occasion de chaque mois de Ramadan.

Ainsi, « des vivres d’une valeur de 110.000 millions de francs ont été répartis entre les populations des régions, y compris celles de Ménaka, au rythme des conflits sanglants depuis deux ans », rapporte un élu régional au nord du Mali, dans l’anonymat.

A LIRE AUSSI

Mali : Les décisions fortes prises en Conseil des ministres du mercredi 13 septembre 2023  

Outre l’accompagnement et la prise en charge des déplacés du centre installés à Bamako, plus de 6 millions de francs ont été déboursés par le parti Yèlèma et ont servi à acheter des vivres pour des populations déplacées du centre et à payer des collations des enfants des déplacés sur 3 mois.

À cela s’ajoute la réalisation de treize forages dans le centre, notamment à Mopti et Konna qui ont abrité des tournois sportifs au frais du parti.

Au sud également, « le parti a implanté durant la transition, au moins huit forages dans la commune I du District de Bamako, où plus de deux-cents femmes ont été formées en transformation alimentaire », reconnaît un élu communal du District.

Aux alentours de la capitale, une source proche du parti rappelle que « des consultations gratuites offertes par le parti, à Siby, à Kati et à Bancoumana », au frais du parti et l’ancien Premier ministre Moussa Mara qui en est aussi un membre fondateur.

Sur le plan infrastructurel, rapporte un résident de la Commune IV, « le parti a financé la réalisation d’un pont à lafiabougou ».

Ouvert au débat, un cadre du parti confie qu’« à chaque fois que la formation a été sollicitée, son bureau a fait des propositions sur des questions politiques et institutionnelles dans l’intérêt du Mali. En quelque sorte, ces actions sont des gestes qui attestent de notre volonté d’aider les populations et la transition à aller vers une sortie de crise », explicite Hamidou Doumbia, leader des jeunes du parti qui, fustige de passage ceux qu’il appelle les propagandistes.

En affichant une posture assez pacifiste et positiviste, l’ancien Premier ministre que des analystes politiques n’hésitent pas à classer parmi les trois, voire deux candidats favoris des futures élections présidentielles, a fait des soucis des populations sa priorité.

De son bureau d’expert-comptable d’où il observe le marigot politique s’effriter avec l’exil et l’arrestation des leaders ayant trempé dans les magouilles, Moussa Mara qui, malgré ses efforts et ceux de son parti, a personnellement versé en avril 2022 un montant d’1 million de francs Cfa en soutien de la transition, scrute l’avenir avec l’espoir de voir la transition réussir ses chantiers cruciaux tel que ses dirigeants l’ont promis.

I.T

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *