Les auteurs dudit Rapport accusent l’armée malienne de viol des règles du droit international humanitaire et du droit international des droits de l’homme pour avoir : violé les règles et principes du droit international humanitaire régissant la conduite des hostilités, procédé à des exécutions sommaires, extra-judiciaires ou arbitraires de civil (plus de 500 personnes), commis des viols et autres formes de violences sexuelles (au moins 58 femmes et jeunes filles).