Littéralement assiégé et réduit à sa plus petite expression, le village de Mondoro est sous embargo des groupes armés terroristes, qui contrôlent, en permanence, toutes les entrées et sorties du village, depuis plus de sept mois. Des conséquences désastreuses sur les populations restées sur place. Intriguée par l’inaction du camp des FAMa dans le village, l’Association des Jeunes pour le Développement de Mondoro (AJDM) tire la sonnette d’alarme et interpelle le Président de la Transition, Assimi Goïta.